Aller au contenu

Aller à la table des matières

COMMENT VOS DONS SONT UTILISÉS

Des constructions achevées avant la pandémie

Des constructions achevées avant la pandémie

1er NOVEMBRE 2020

 Des centaines de milliers de personnes se font baptiser chaque année, nous avons donc besoin de plus en plus de bâtiments pour notre culte. C’est pourquoi les services locaux de développement-construction du monde entier avaient prévu de construire ou de rénover plus de 2 700 lieux de culte au cours de l’année de service 2020 a.

 Malheureusement, la pandémie de Covid-19 a bouleversé ces projets. Pour protéger nos frères et sœurs et respecter les directives gouvernementales, le Comité d’édition (un comité du Collège central) a interrompu la majorité des projets de construction dans le monde. Toutefois, durant l’année de service 2020, plus de 1 700 lieux de culte ont été construits ou rénovés avant la pandémie. De plus, une centaine de projets en rapport avec les activités des filiales ont été achevés. Voyons comment deux de ces projets ont été utiles à nos frères.

 La filiale du Cameroun. Les anciens bâtiments de la filiale, situés à Douala, étaient trop petits et nécessitaient de gros travaux de rénovation. Le Comité d’édition avait envisagé de rénover ces locaux, mais le coût des travaux aurait été supérieur à la valeur des bâtiments. Ils avaient aussi réfléchi à la possibilité d’acheter un nouveau terrain ou d’acheter et de rénover des bâtiments existants, mais aucune de ces options n’a été retenue.

 Dans le même temps, les frères ont appris qu’au nord de Douala, les autorités locales prévoyaient de construire une route près d’une de nos salles d’assemblées. Cette route permettrait d’accéder sans difficulté à la propriété et faciliterait le raccordement aux différents réseaux. C’était exactement ce dont la filiale avait besoin ! Le Collège central a donc approuvé la construction de nouveaux locaux sur une parcelle du terrain de la salle d’assemblées.

Des frères et sœurs participent à la construction de la nouvelle filiale du Cameroun.

 Des Témoins et des entrepreneurs ont collaboré pour ce projet ; cette méthode a permis d’économiser du temps et de l’argent. En fait, le projet a coûté beaucoup moins cher que prévu : environ 1 700 000 euros ont été économisés. La famille du Béthel a pu s’installer dans les nouveaux bâtiments peu de temps avant le début de la pandémie.

Le chantier de la filiale du Cameroun a été terminé avant la pandémie de Covid-19.

 Les béthélites du Cameroun profitent maintenant d’une meilleure qualité de vie et de conditions de travail plus agréables ; ils considèrent leur nouvelle filiale comme un cadeau de Jéhovah. Un couple dit : « On a vraiment envie de travailler plus dur pour montrer qu’on apprécie ce cadeau à sa juste valeur. »

Des frères et sœurs travaillent dans leurs nouveaux bureaux avant la pandémie.

 L’antenne de traduction en tojolabal (Mexique). Depuis de nombreuses années, l’équipe de traduction en tojolabal était située à la filiale d’Amérique centrale, près de Mexico. Toutefois, le tojolabal est principalement parlé à Altamirano et à Las Margaritas, deux villes situées à environ 1 000 kilomètres de la filiale. Les traducteurs avaient donc du mal à suivre l’évolution de cette langue. Et la filiale n’arrivait pas à trouver assez de frères et sœurs qualifiés à proximité pour venir traduire et faire des enregistrements en tojolabal.

Des frères et sœurs participent au chantier de l’antenne de traduction.

 C’est pourquoi le Comité de rédaction (un comité du Collège central) a décidé de transférer l’équipe de traduction dans une région où on parle cette langue. Pour cela, la filiale a choisi d’acheter et de rénover un bâtiment, ce qui coûte moins cher que de construire ou de louer des bureaux.

 Un traducteur explique quels bienfaits il en a retirés : « Pendant dix ans où j’étais traducteur à la filiale, je n’ai jamais rencontré dans les environs une seule famille qui parlait ma langue. Aujourd’hui, notre antenne de traduction est située au cœur de la région où on parle le tojolabal. Je rencontre tous les jours des personnes qui parlent le tojolabal. Cela m’a permis d’enrichir mon vocabulaire et d’améliorer la qualité de mon travail. »

L’antenne de traduction en tojolabal : avant et après les travaux de rénovation.

Quels sont les projets pour l’année de service 2021 ?

 Pour l’année de service 2021, si la situation le permet, il est prévu de construire ou de rénover 75 antennes de traduction et centres d’écoles bibliques. Nous continuerons d’avancer sur huit projets importants concernant des filiales, comme le nouveau projet du siège mondial à Ramapo (État de New York), ainsi que le transfert des filiales d’Argentine et d’Italie. De plus, plus de 1 000 salles du Royaume sont nécessaires, 6 000 lieux de cultes sont inadaptés et doivent être remplacés, et 4 000 salles du Royaume doivent être rénovées.

 Comment tous ces projets sont-​ils financés ? Frère Lázaro González, membre de la filiale d’Amérique centrale, a répondu à cette question alors qu’il parlait du projet d’antenne de traduction en tojolabal. Il a dit : « Dans le territoire de notre filiale, nous avons des ressources limitées. Alors sans l’aide de nos frères et sœurs du monde entier, il serait impossible de construire des antennes de traduction en langues indigènes. Grâce aux offrandes faites par nos frères et sœurs du monde entier, les traducteurs sont maintenant plus proches des communautés où on parle leur langue. Nous remercions sincèrement notre famille internationale pour sa générosité. » En effet, ces projets de construction sont rendus possibles grâce à vos offrandes pour l’œuvre mondiale, qui sont faites principalement sur le site donate.pr418.com.

a Les services locaux de développement-construction planifient et mettent en œuvre la construction de salles du Royaume dans le territoire de leur filiale. Le service mondial de développement-construction, situé au siège mondial, décide quels projets de construction doivent être réalisés en premier et ensuite il les planifie.